Quand j’ai créé ma startup, j’étais très euphorique à l’idée de rejoindre des groupes d’autres entrepreneurs afin de profiter d’une dynamique créatrice. J’ai assisté à des réunions, participé à des conférences, rencontré des acteurs dédicacés à ce secteur d’activité. Au fur et à mesure de mes démarches, j’ai compris que les startups n’avaient d’intérêt pour notre économie que si elles étaient demandeuses de capital ou de fonds. Si on a une chouette idée, réellement innovatrice, avec un vrai potentiel d’intérêt publique et commercial, cela n’est pas suffisant. Il faut que le plan de développement de l’entreprise inclus un plan d’endettement et de perte de souveraineté pour qu’elle trouve un intérêt sur le marché. Or, quand on travaille sur quelque chose de nouveau, on remet aussi en question des comportments conservateurs. Baser le plan de développement d’une société novatrice sur un plan d’endettements vis à vis de créanciers conservateurs est très dérangeant. On pense à tout ça en se disant que c’est le blues du lundi matin. Et puis on lit ça : Luxembourg, Building on Old Habits, Births a Tech Ecosystem. (source http://www.siliconluxembourg.lu). 🙂
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